Histoire et culture

Le clan des Heiké qui a fui la guerre civile sous l’ère Heian a favorisé l’établissement d’une culture unique.

  1. Le musée du tabac à Awa-Ikeda

    Point clé pour les transports, Ikeda, où s’est développée l’industrie du tabac de la fin du Shogounat à l’ère Meiji, a gardé son atmosphère d’ancienne ville-étape. On y trouve encore les résidences des marchands de tabac, ainsi qu’un musée. Même un siècle plus tard, il est facile d’imaginer la prospérité de la ville en ces temps-là. Dans les cours, des fleurs marquent la saison.

  2. Le parc de Rijke

    Dans ce parc, il est possible de prendre un peu de repos dans un moulin hollandais, devant lequel s’étend un parterre de 15 000 tulipes en fleur au printemps. À proximité du parc, la digue De Rijke a été classée Bien culturel tangible du Japon.

  3. Le temple Hashikura-ji

    Ce temple aurait été fondé par Kōbō Daishi. En 789, à l’âge de 16 ans, il aurait grimpé cette montagne et bâti ce temple. Par la suite, par édit impérial de l’empereur Saga, il a sculpté une Kannon à mille bras et l’a consacrée ici.

  4. Le musée d’histoire et du folklore de Higashi-Iya

    De nombreuses pièces exposées témoignent de la vie des Heiké. Le musée contient également les répliques des bannières rouges du clan.

  5. Maison anmitsu de Kawano Mericlone

    Ce bâtiment contient une salle consacrée aux cymbidiums ainsi qu’une boutique ouverte au public. Au moment de la floraison, de fin novembre à mars, c’est une débauche de couleurs. La reine de ces orchidées, Anmitsu Hime, et son pendant, Marie Laurencin, ainsi que d’autres espèces plus populaires comme Princesse Masako ont des parfums et des couleurs qui se complètent merveilleusement.

  6. La résidence de la famille Miki

    Cette imposante demeure au toit de chaume en croupe, aurait été bâtie au début de l’ère Edo. Reconnue comme la plus vieille maison du département de Tokushima, elle a été classée Bien culturel important du Japon. Elle est mentionnée dans 45 documents anciens (classés Biens culturels par le département). Aujourd’hui, c’est la 28e génération qui l’entretient.

  7. Office de tourisme « Mima Tourist & Cultural Information Centre »

    L’Office de Mima est installé dans un bâtiment à l’occidentale, bâti en 1988, et rappelant le bureau des impôts de l’ère Meiji qui se trouvait là.
    Depuis l’inauguration de la ville de Mima, ce centre a accueilli plusieurs expositions sur la vie d’autrefois et d’aujourd’hui à Wakimachi. Il sert de point de ralliement aux guides bénévoles.

  8. La résidence du prévôt Nagaike

    La résidence de ce prévôt a été construite en 1791 sur un terrain de 1 820 m2 situé dans une zone résidentielle à 50 m de la rue des udatsu à à double niveau.
    D’allure paisible, ce bâtiment est classé Bien culturel tangible de Tsurugichō.

  9. Les vieilles rues de Sadamitsu

    Sadamitsu est connu depuis des temps très anciens pour avoir été un centre commercial. Depuis l’ère Edo, le tabac a fait la prospérité de la ville, et le fief des Awa a engendré une multitude de marchands fortunés.
    L’ornementation en udatsu des toits de ces demeures de marchands témoigne de leur prospérité. Construits à l’origine comme coupe-feu, les udatsu sont devenus des symboles de richesse. Au fil du temps, ils ont acquis un style de plus en plus flamboyant.

  10. Les vieilles rues de Tsuji

    Les rues traditionnelles de Tsuji à Ikawa (région de Miyoshi), où se trouvaient les manufactures de tabac, ont connu leur heure de gloire à l’ère Edo.

  11. Vieilles rues de Wakimachi avec udatsu

    Située sur la rive nord du Yoshino-gawa, au confluent des autoroutes de Muya et Sanuki, la ville de Wakimachi occupe une position idéale pour le transport fluvial sur le Yoshino-gawa.
    À l’origine, les vieilles rues entouraient le château de Waki, avant que la ville ne devienne un centre de commerce pour l’indigo. Aujourd’hui, il est possible de voir encore 85 maisons datant d’Edo ou des premières années de l’ère Shōwa, réalisées selon des méthodes traditionnelles remontant, pour la plupart, à l’ère Meiji.

  12. L’Orimoto-ya

    Datant de l’ère Edo, ce bâtiment a gardé une ancienne façade avec udatsu. Reconstruit au début de l’ère Meiji, il a servi de négoce de saké, avant que la région ne connaisse un pic de prospérité. L’Orimotoya a été désigné au Patrimoine culturel national.

  13. La résidence des samouraïs de la famille Kitake

    C’est la plus imposante demeure de samouraïs de la région de Iya. Elle a été construite il y a 250 ans. Après sa défaite à la bataille de Yashima, le clan des Heiké s’est retiré dans la partie Ōeda de Higashi-Iya. Le cèdre japonais en forme de lance dans le jardin de la maison vaut le détour.

  14. Teramachi

    L’un des quartiers de la ville regroupe une importante concentration de temples et de jardins. Vous prendrez certainement un grand plaisir à vous promener d’un temple à l’autre, goûtant à cette tranquille atmosphère de l’histoire.

  15. Le temple Unpen-ji

    Perché à 911 m, non loin des montagnes du Shikoku, ce temple réputé difficile d’accès est le plus haut de tout le pèlerinage du Shikoku. De nos jours, il est possible d’emprunter un tramway tracté par câble pour monter au sommet.

  16. Le théâtre de l’Odéon à Wakimachi

    C’est en 1933 que naît l’idée de construire un théâtre à Wakimachi. L’année suivante, le théâtre voyait le jour : tandis qu’extérieurement il est de style occidental moderne, l’intérieur reprend le schéma du théâtre traditionnel japonais, avec un plateau tournant. Plus tard, il est devenu un cinéma.

  17. La résidence des Yoshida

    Cette résidence qui date de 1792 a appartenu à Naohei-ei Yoshida, négociant en produits d’indigo et l’une des plus belles fortunes de Wakimachi. L’endroit fait presque 2 000 m2 et comprend cinq bâtisses, dont le bâtiment principal et des magasins de stockage entourant un jardin intérieur. Construite entre le milieu et la fin de l’ère Edo, cette résidence est classée Bien culturel par le département.
    Vous serez séduit par cette superbe architecture et la vie quotidienne des marchands d’indigo d’autrefois.

  1. Le musée du tabac à Awa-Ikeda

    Point clé pour les transports, Ikeda, où s’est développée l’industrie du tabac de la fin du Shogounat à l’ère Meiji, a gardé son atmosphère d’ancienne ville-étape. On y trouve encore les résidences des marchands de tabac, ainsi qu’un musée. Même un siècle plus tard, il est facile d’imaginer la prospérité de la ville en ces temps-là. Dans les cours, des fleurs marquent la saison.

  2. Le parc de Rijke

    Dans ce parc, il est possible de prendre un peu de repos dans un moulin hollandais, devant lequel s’étend un parterre de 15 000 tulipes en fleur au printemps. À proximité du parc, la digue De Rijke a été classée Bien culturel tangible du Japon.

  3. Le temple Hashikura-ji

    Ce temple aurait été fondé par Kōbō Daishi. En 789, à l’âge de 16 ans, il aurait grimpé cette montagne et bâti ce temple. Par la suite, par édit impérial de l’empereur Saga, il a sculpté une Kannon à mille bras et l’a consacrée ici.

  4. Le musée d’histoire et du folklore de Higashi-Iya

    De nombreuses pièces exposées témoignent de la vie des Heiké. Le musée contient également les répliques des bannières rouges du clan.

  5. Maison anmitsu de Kawano Mericlone

    Ce bâtiment contient une salle consacrée aux cymbidiums ainsi qu’une boutique ouverte au public. Au moment de la floraison, de fin novembre à mars, c’est une débauche de couleurs. La reine de ces orchidées, Anmitsu Hime, et son pendant, Marie Laurencin, ainsi que d’autres espèces plus populaires comme Princesse Masako ont des parfums et des couleurs qui se complètent merveilleusement.

  6. La résidence de la famille Miki

    Cette imposante demeure au toit de chaume en croupe, aurait été bâtie au début de l’ère Edo. Reconnue comme la plus vieille maison du département de Tokushima, elle a été classée Bien culturel important du Japon. Elle est mentionnée dans 45 documents anciens (classés Biens culturels par le département). Aujourd’hui, c’est la 28e génération qui l’entretient.

  7. Office de tourisme « Mima Tourist & Cultural Information Centre »

    L’Office de Mima est installé dans un bâtiment à l’occidentale, bâti en 1988, et rappelant le bureau des impôts de l’ère Meiji qui se trouvait là.
    Depuis l’inauguration de la ville de Mima, ce centre a accueilli plusieurs expositions sur la vie d’autrefois et d’aujourd’hui à Wakimachi. Il sert de point de ralliement aux guides bénévoles.

  8. La résidence du prévôt Nagaike

    La résidence de ce prévôt a été construite en 1791 sur un terrain de 1 820 m2 situé dans une zone résidentielle à 50 m de la rue des udatsu à à double niveau.
    D’allure paisible, ce bâtiment est classé Bien culturel tangible de Tsurugichō.

  9. Les vieilles rues de Sadamitsu

    Sadamitsu est connu depuis des temps très anciens pour avoir été un centre commercial. Depuis l’ère Edo, le tabac a fait la prospérité de la ville, et le fief des Awa a engendré une multitude de marchands fortunés.
    L’ornementation en udatsu des toits de ces demeures de marchands témoigne de leur prospérité. Construits à l’origine comme coupe-feu, les udatsu sont devenus des symboles de richesse. Au fil du temps, ils ont acquis un style de plus en plus flamboyant.

  10. Les vieilles rues de Tsuji

    Les rues traditionnelles de Tsuji à Ikawa (région de Miyoshi), où se trouvaient les manufactures de tabac, ont connu leur heure de gloire à l’ère Edo.

  11. Vieilles rues de Wakimachi avec udatsu

    Située sur la rive nord du Yoshino-gawa, au confluent des autoroutes de Muya et Sanuki, la ville de Wakimachi occupe une position idéale pour le transport fluvial sur le Yoshino-gawa.
    À l’origine, les vieilles rues entouraient le château de Waki, avant que la ville ne devienne un centre de commerce pour l’indigo. Aujourd’hui, il est possible de voir encore 85 maisons datant d’Edo ou des premières années de l’ère Shōwa, réalisées selon des méthodes traditionnelles remontant, pour la plupart, à l’ère Meiji.

  12. L’Orimoto-ya

    Datant de l’ère Edo, ce bâtiment a gardé une ancienne façade avec udatsu. Reconstruit au début de l’ère Meiji, il a servi de négoce de saké, avant que la région ne connaisse un pic de prospérité. L’Orimotoya a été désigné au Patrimoine culturel national.

  13. La résidence des samouraïs de la famille Kitake

    C’est la plus imposante demeure de samouraïs de la région de Iya. Elle a été construite il y a 250 ans. Après sa défaite à la bataille de Yashima, le clan des Heiké s’est retiré dans la partie Ōeda de Higashi-Iya. Le cèdre japonais en forme de lance dans le jardin de la maison vaut le détour.

  14. Teramachi

    L’un des quartiers de la ville regroupe une importante concentration de temples et de jardins. Vous prendrez certainement un grand plaisir à vous promener d’un temple à l’autre, goûtant à cette tranquille atmosphère de l’histoire.

  15. Le temple Unpen-ji

    Perché à 911 m, non loin des montagnes du Shikoku, ce temple réputé difficile d’accès est le plus haut de tout le pèlerinage du Shikoku. De nos jours, il est possible d’emprunter un tramway tracté par câble pour monter au sommet.

  16. Le théâtre de l’Odéon à Wakimachi

    C’est en 1933 que naît l’idée de construire un théâtre à Wakimachi. L’année suivante, le théâtre voyait le jour : tandis qu’extérieurement il est de style occidental moderne, l’intérieur reprend le schéma du théâtre traditionnel japonais, avec un plateau tournant. Plus tard, il est devenu un cinéma.

  17. La résidence des Yoshida

    Cette résidence qui date de 1792 a appartenu à Naohei-ei Yoshida, négociant en produits d’indigo et l’une des plus belles fortunes de Wakimachi. L’endroit fait presque 2 000 m2 et comprend cinq bâtisses, dont le bâtiment principal et des magasins de stockage entourant un jardin intérieur. Construite entre le milieu et la fin de l’ère Edo, cette résidence est classée Bien culturel par le département.
    Vous serez séduit par cette superbe architecture et la vie quotidienne des marchands d’indigo d’autrefois.